[EXEMPLE] Jésus, le libérateur

Voici : comme l’argile est dans la main du potier, vous êtes dans ma main, dit l’Eternel.
Jérémie 18.6

Cela vous arrive-t-il parfois de dire « Dieu, pourquoi est-ce que telle ou telle épreuve m’arrive !? » Alors un vase pourra peut-être vous aider à y voir un peu plus clair. 

On a un peu l’habitude de se comparer à de l’argile que Dieu, le potier, transforme. Mais on oublie peut-être parfois que pour faire un beau vase, l’argile doit passer par toute une série d’épreuves. 

Il faut d’abord la préparer. Le potier commence par pétrir énergiquement le bloc d’argile, le découper, le rassembler, pétrir encore… Ensuite, le potier pose l’argile sur la plateforme tournante et doit encore la travailler longtemps avant qu’on puisse commencer à voir une forme de vase. Et enfin, une fois le vase formé, il doit être cuit pendant un long moment (jusqu’à 48 heures) et à très haute température (jusqu’à 1000 degrés). 

Ces épreuves doivent être chacune plus ou moins difficiles à vivre pour l’argile, mais elles sont toutes nécessaires pour transformer un bloc informe en un vase utile et joli. 

Eh oui : si on laisse l’argile tranquille dans un coin, elle ne deviendra probablement qu’un tas de boue séchée… qui ne sert à rien, et n’est pas joli !

Alors si Dieu est un potier et si nous sommes l’argile, il n’y a pas le choix. Pour devenir un vase, il faut accepter de passer par des épreuves. 

Mais alors, on pourrait se dire que les épreuves risquent de finir par écraser l’argile… Hé bien non, car fort heureusement, Dieu est un potier expert et il sait exactement jusqu’où il doit aller pour faire de nous un vase magnifique, sans risquer la casse.

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